Septembre ou octobre 2154 fin d’après-midi
-" Hey petit ne t’arrête pas !”
Ça : c’est Téo, 25m devant, moi, dans l’ombre d’un bâtiment, il couvre nos arrières, et un peut partout autour avec G36C. Moi, je suis à bout de souffle, et je tente de le suivre ! Mais pas le temps de vous expliquer maintenant !
Ça : c’est Téo, 25m devant, moi, dans l’ombre d’un bâtiment, il couvre nos arrières, et un peut partout autour avec G36C. Moi, je suis à bout de souffle, et je tente de le suivre ! Mais pas le temps de vous expliquer maintenant !
20 minutes plus tot :
La planque avait durée plus longtemps que prévu, trop longtemps...
Plus le temps passe, plus je sent que quelque chose ne tourne, pas rond. La sueur coule le long de ma nuque jusqu’au bas de mon dos. Le sol, dur et chaud sous moi ne parvient pas à me donner une impression de sécurité. L’air est lourd et moite, septembre ne ressemble en rien à ce que les anciens nous en raconte.
Camouflé sur ce toit, je suis presque invisible. Mon collègue et amis, Téo est placé à un mètre de moi, immobile et calme, il observe les bâtiments alentours à la jumelle, son fusil d'assaut pausé à côté de lui à porté de main.
Après plus d’une après-midi à attendre sur ce toit, nous connaissions les moindres détails du bâtiment nous faisant face. Le moindre mouvement attirait nôtre attention ; un oiseau sortant par une vitre depuis longtemps brisé, un chien errant renversant une boite de conserve dans la rue en dessous de nous... Mais aucun signe de nôtre cible, pas un guetteur, pas une sortie, la ville est calme, trop calme.
18h36, la radio vibre, j’active le son, puis après quelques secondes elle se met à crachoter dans mon oreillette :
-“Chalet à clairon.. Chalet à clairon, me recevez vous ?” Quel nom de code stupide.
-“Clairon à chalet, j’écoute...” Ca sent l’embrouille on nous appel que quand il y à un soucis.
-“Évacuez la zone immédiatement, rejoignez le point 4 pour extraction dans 50 minutes ! Fini !” Je l’avait dit, fait chier !
-“Téo on plis la boutique ! Dessuite”
Je me lève, plus rien à faire d’être camouflé, je commence à ranger mon matos ; jumelle, gourde, fusil... Moins d’une heure, pour le point 4, bien trop court, on n’y sera jamais ! Merde ! Téo s’active avec des gestes précis à mon côté, on ne parle pas, on sais ce qui nous attends, on va avoir besoin de toute l'énergie dont ont disposent.
-“Chalet ! Bien reçu ! Négatif, ce sera trop court pour nous !” Toujours essayer de gagner du temps, même si ça ne change rien souvent.
-“Clairon ! Je répète, évacuation par point 4, nettoyage par le vide de la zone prévu dans H moins un peut être moins ! Fini !” Compris, pas moyen de discuter, évacuer ou creuver...
-“Chalet ! Compris ! Fini !”
Je coupe la radio, c’est fini, on n’aura pas d’autre consigne, pas besoin de se faire repérer à cause de ça !
La planque avait durée plus longtemps que prévu, trop longtemps...
Plus le temps passe, plus je sent que quelque chose ne tourne, pas rond. La sueur coule le long de ma nuque jusqu’au bas de mon dos. Le sol, dur et chaud sous moi ne parvient pas à me donner une impression de sécurité. L’air est lourd et moite, septembre ne ressemble en rien à ce que les anciens nous en raconte.
Camouflé sur ce toit, je suis presque invisible. Mon collègue et amis, Téo est placé à un mètre de moi, immobile et calme, il observe les bâtiments alentours à la jumelle, son fusil d'assaut pausé à côté de lui à porté de main.
Après plus d’une après-midi à attendre sur ce toit, nous connaissions les moindres détails du bâtiment nous faisant face. Le moindre mouvement attirait nôtre attention ; un oiseau sortant par une vitre depuis longtemps brisé, un chien errant renversant une boite de conserve dans la rue en dessous de nous... Mais aucun signe de nôtre cible, pas un guetteur, pas une sortie, la ville est calme, trop calme.
18h36, la radio vibre, j’active le son, puis après quelques secondes elle se met à crachoter dans mon oreillette :
-“Chalet à clairon.. Chalet à clairon, me recevez vous ?” Quel nom de code stupide.
-“Clairon à chalet, j’écoute...” Ca sent l’embrouille on nous appel que quand il y à un soucis.
-“Évacuez la zone immédiatement, rejoignez le point 4 pour extraction dans 50 minutes ! Fini !” Je l’avait dit, fait chier !
-“Téo on plis la boutique ! Dessuite”
Je me lève, plus rien à faire d’être camouflé, je commence à ranger mon matos ; jumelle, gourde, fusil... Moins d’une heure, pour le point 4, bien trop court, on n’y sera jamais ! Merde ! Téo s’active avec des gestes précis à mon côté, on ne parle pas, on sais ce qui nous attends, on va avoir besoin de toute l'énergie dont ont disposent.
-“Chalet ! Bien reçu ! Négatif, ce sera trop court pour nous !” Toujours essayer de gagner du temps, même si ça ne change rien souvent.
-“Clairon ! Je répète, évacuation par point 4, nettoyage par le vide de la zone prévu dans H moins un peut être moins ! Fini !” Compris, pas moyen de discuter, évacuer ou creuver...
-“Chalet ! Compris ! Fini !”
Je coupe la radio, c’est fini, on n’aura pas d’autre consigne, pas besoin de se faire repérer à cause de ça !
Mon fusil, un Barrett XM500 modifié est un lourd et encombrant fusil de précision. En combat à distance, c’est une machine à tuer. Autrefois réputé, il fait maintenant partit de l’arsenal antipersonnel et anti-blindage léger de la communauté. Il tire des balles de .50 et autres équivalent capables de traverser un blindage léger à plus de 1km, je ne vous parle pas même pas des dégâts sur les personnes.
14 kg de puissance à l’état pur qui étaient inutilisable maintenant que mon fusil bâtait mon dos accroché par une sangle placé en travers de mes épaules. A la place, dans mes main, un pistolet ; Makarov devait me permettre de me défendre en cas de problème. Le petit pistolet semblait ridicule comparé au fusil de précision, un jouet.
Téo ouvre la route avec son bon vieux G36C, il est calme, il se déplace avec rapidité, et en silence, je le suit du mieux que je peux, mon fusil pèse, alourdis ma démarche.
14 kg de puissance à l’état pur qui étaient inutilisable maintenant que mon fusil bâtait mon dos accroché par une sangle placé en travers de mes épaules. A la place, dans mes main, un pistolet ; Makarov devait me permettre de me défendre en cas de problème. Le petit pistolet semblait ridicule comparé au fusil de précision, un jouet.
Téo ouvre la route avec son bon vieux G36C, il est calme, il se déplace avec rapidité, et en silence, je le suit du mieux que je peux, mon fusil pèse, alourdis ma démarche.
Il faut bouger vite ou c’est la mort assuré. Ces putains de compagnies officiels prenent un malin plaisir à nettoyer des zones entières grâce à des armes chimiques dés qu’il y à un peut trop d'activité. A croire que les hommes on 2 choix : être esclave de ces compagnies ou être obliger de les fuir.
Vie de merde, ici les joies sont rares et souvent de courtes durées.