Fuel Apocalypse c'est quoi?

Le monde de Fuel Apocalypse ou F.A. pour les intimes est votre monde. Votre bonne petite terre, une fois que l'on en aura pompé toutes les réserves naturelles.

Et autant vous le dire tout de suite ce ne sera pas beau à voire !

Croyez moi, à l'époque ou l'or noire commençait à manquer, les accords de paix ont vite sautés. S'il y avait aujourd'hui des historiens il parleraient surement de troisième guerre mondiale... Mais pour nous c'est le Fuel Apocalypse.

C'est le monde où on vit, un monde où on tue pour une goute d'essence. Pour un oui ou pour un non ! Ce monde c'est celui de F.A. !

Et putain mon ami, qu'es ce que j'aime ce monde!

23/12/2010

Episode 5 : Le concert

6 mai 2152, entre 22h et 00h, Shamrock (Texas)



La chaleur est suffocante, le placard qui nous sert de loge ressemble plus à un four qu'à autre chose.

Ce soir la salle est blindée, de souvenir je ne l'ai jamais vu comme ça. La pression monte, si tout ce monde est la c'est que quelque chose ce prépare. On vas devoir assuré.


Jam est particulièrement nerveux, c'est ça troisième représentation avec nous. Notre précédent bassiste, son frère jumeau est mort il y deux semaines, éventrais pour une histoire d'essence coupé à l'eau. Harmo répète quelque arrangement sur son synté. Je me demande comment il marche encore, il est totalement bricolé et ne ressemble plus du tout a ce que l'on peut voire sur les magasines d'avant. Crystal comme à son habitude est calme, elle lit, c 'est la plus équilibré de nous tous. Avant l'apocalypse son grand père était dans les forces spéciales, du moins c'est ce que prétend sont père. Elle vivait à l'extérieur de la ville dans une communauté plutôt fermée, qui occupait un bunker souterrain durant l'apocalypse, quand le calme est un peu revenu la communauté est partie, mais ça famille est restée sur place. Elle n'en parle jamais mais les rumeur vont bon-train. Certain prétende que c'est communauté serait un vaste réseau à l'origine de l'organisation et des rares zones ou il fait bon vivre. Mais je n'ai jamais personnellement vu un signe de vis de cette soit distante organisation ni de zone ou il fait bon vivre, pour moi ce ne sont que des légendes urbaines.


Mais la ce n'est pas pour le concert que je m'inquiète mais pour Jill, elle ma parlé d'un type qui la fessait flipper. J'ai eu une discutions avec le service de sécurité de mon père mais avec ce monde leur tache ne vas être aisé. En plus des type louche il n'y a que ça, ici à Shamrock.


Toc Toc...

On frappe à la prote de la loge, ça vas sûrement être à nous, j'ouvre. Mike un des vigiles, de 4 ans mon aîné, m'attendait dans le couloir. Il devais bien faire deux têtes de plus que moi et autant de fois ma largeur, une vrais montagne. On raconte qu’avant d'être engagé comme videur par Bill, mon père, il gagné ça vie en vendant ces service. Quand je dis qu’il vendait ces service je ne parle pas du même type de service que peuvent offrir les fille du Gazolinedolls. Les siens aboutissaient plus souvent aux trépas qu’a l’extase. Si on écoutait encore les rumeurs il paraîtrait qu’à une époque il c'était fais un mon dans un type bien particulier de combat à main nues les: “jusqu’aux dernier sang”.

Si Mike était la ce n'était pas pour nous dire de monter sur scène.


-Alors Mike tout ce passe bien ce soir?
-Oué oué moi ça vas, mais c'est pas pour la discute que je viens, on a repéré un type particulièrement louche ce soir.
Putain pour qu'ils un repaire un en particulier il doit être vraiment bizarre.
-Et il a quoi de si particulier ce gland?
-On ne l'a jamais vu au paravent, et malgré la chaleur il porte une sorte de grand manteau avec une capuche qui lui cache le visage. Ça fait une heure qu'il est au bar mais il n'a rien consommé ça fait flipé Bill. Et en plus personne ne s'approche de lui alors que la salle est blindée.
-Il a l'aire craignosse? C'était aussi bien une question qu'une affirmation quel genre de type peut porter un manteau avec une capuche par 45°, un peu plus et il commanderai de l'eau la ce serait le comble du paroxysme. Mais bon si on ne l’a jamais vue dans le club ce ne doit pas être le type dont m’a parlé Jill. quand je disais que des types étranges on avait que ça à Shamrock.
-Oué super craignosse.
-Faite gaffe à lui alors!
-T'inquiète. Me répondu t’il en s'éloignant tout en tapotant ça kalach.

J'aperçus Margot, une des filles de mon père, qui arrivé de l'autre bout du couloir. Elle dû ce serrer pour laisser passer Mike. Maintenant c'était à nous.
The Eraserhead allait tout déchirer ce soir.

07/12/2010

Episode 4 : Fire

Septembre ou octobre 2154 fin d’après-midi

-" Hey petit ne t’arrête pas !”
Ça : c’est Téo, 25m devant, moi, dans l’ombre d’un bâtiment, il couvre nos arrières, et un peut partout autour avec G36C.  Moi, je suis à bout de souffle, et je tente de le suivre ! Mais pas le temps de vous expliquer maintenant !

20/11/2010

Episode 3 : Une vie volée

6 mai 2152, entre 22h et 00h, Shamrock (Texas)

On m’appelle Jill mais ce n’est pas mon vrais nom, je ne l’ai jamais connu, je ne m’en souviens plus. Mes derniers souvenirs remontent à mes 6 ou 7ans. Une cabane en feu, des cris d'agonies, brutalité et violence sont premiers souvenirs. Et chaque soir le même rêve, le visage d'une femme déformé par des hurlement de douleur qui tends la main comme pour me saisir . Après c'est le trou noire, un plongeon dans l'obscurité.
Quelque litres d'essence ont suffit au patron de cette maison close pour m'acheter à une bande de motard.
Je n'ai pas à me plaindre. Au début je fessais les salles besognes mais j'avais un toit, de quoi manger chaque jour et surtout j'étais en sécurité. Beaucoup auraient tué pour avoir ma chance.

Ici les fille de mon âge qui survivent seules dans la rue ont toutes déjà étaient abusées et une grande partie fini dans la drogue et la prostitution.
Maintenant je suis la vedette, l'attraction du GazolineDolls, la petite favorite du patron. Il me traite comme si j'étais la fille qu'il a perdu il y a 13ans des suite d'une maladie bénigne. Ce privilège me permets de ne pas avoir à faire commerce de mon corps. Les autres fille en sont jalouses mais n'en dissent rien de peur de perdre leur place.

Mais depuis une semaine j'ai peur. Un homme viens tout les soirs. Il s'installe au comptoir, repousse les avances des filles et ne lève la tête que quand je monte sur scène. Il ne me quitte plus des yeux toute au long du show et s'en vas aussitôt celui-ci fini. Son regard me glace, il est vide comme la profondeur des abîmes. Il n'en ressort que de la haine. À chaque fois que je le croise il me replonge dans l'obscurité de mes rêves et me paralyse.
J'en ai parlé à Trent , le fils du patron et mon seul véritable ami. On à presque le même âge, et depuis que je suis arrivée ici on grandit ensemble. Lui est devenue musicien et chanteur, sont groupe ce produit souvent ici et il compose les musiques de mes shows . Il m'a dis de ne pas m'en faire, qu'il en parlerait au service de sécurité de l'établissement. Mais c'est plus fort que moi. J'ai l'impression que cet homme me connaît, que son regard pénètre mon âme.

Aujourd'hui encore je monterai sur scène la peur au ventre. J'entends la musique ; The ElectroHead les musiciens du groupe de Trent ce sont mit à jouer, ça vas être à moi...

14/11/2010

Episode 2 : La ville

14 septembre 2154, 8h00, Sud de l'ancienne France


« Tulululute ! Tululute ! Tululute ! »


Le bruit strident d'un réveil matin dans l'air encore frais. Un jeune homme, sort des fourrés. L'air peu assuré, les cheveux en bataille. Il fait quelques étirements tandis qu'il se dirige vers le haut du talus qui le protégeais de la route. Au loin, des colonnes de fumée noires, des squelettes de gratte ciel et de haut monument bouchent l'horizon : la ville.


Le jeune homme, fouille quelques instant dans son sac à dos rigide et sort une longue vue de poche. Avant de mettre la jumelle à son œil, il observe attentivement les alentours puis avec la longue vue, il se concentre sur la route qui mène à la ville et ses abords. Il fait une grimace, observe un temps de pause puis s'élance. Il prend de la vitesse dans la pente, arrive sur la chaussé à grandes enjambés. Il ralentit puis d'un trot léger et régulier prend la direction de la ville.


Le silence est pesant, seul résonne le claquement des chaussures du garçon sur l'asphalte. Aucun oiseaux ne chantent, l'air immobile est frais et clair, il pique les narines. Un petit nuage de condensation sort de la bouche du jeune homme tandis que celui-ci court. Les kilomètres défilent sans que celui ci montre le moindre signe de fatigue. La ville approche doucement, le décors change...


Le soleil est haut dans le ciel quand celui ci décide enfin de s'arrêter. La route cabossé n’est plus, à la place une ancienne voie rapide jonché de déchets et de carcasses brûlées. Le bitume éclaté laisse pousser toute sortes d’arbustes. Le jeune homme s'assit le dos contre une épave carbonisé, depuis longtemps froide. Le silence à fait place au doux bruissement de la végétation environnante.


Au loin retentit un coup de feux, il déchire le silence et la paix.

13/11/2010

Épisode 1: Souvenir d’une nuit terrible

3 Mai 2152, tombé de la nuit, Shamrock (Texas)



Comme chaque soir depuis quelques jours j'échoue au GazolineDolls. Un bordel situé à quelque rues de mon squatte. Normalement je ne reste jamais plus de deux ou trois jour dans la même ville, mais depuis que je l'ai vue, je n'arrive plus à m'enlever ce bordel de la tête. Elle ne doit pas avoir 18 ans mais ressemble déjà tellement à celle que j'ai aimée et qu'on m'a enlevée.


Ça doit remonter à une douzaine d'années maintenant, ma femme et moi avions réussis à survire au crash et à l'apocalypse qui l’avait suivit. On c'était installé dans un coin isolé, loin de tout ce chaos pour y cultiver un lopin de terre et élever notre fille et notre fils. Un jour, à la tombée de la nuit, une bande de rôdeurs en mal de sensations nous est tomber dessus.


Je n'ai rien pu faire, ils m’ont passé à tabac, puis ligoté pour que je sois obligé de les regarder commettre l'impardonnable. Ma femme subissait la plus horrible des barbaries devant nos enfants en pleur et tous jouissaient de la scène, hilare. Elle est morte des suites de leurs coups . Ils s'en sont ensuite pris à mon fils et je me suis évanoui. Quand je me suis réveillé la cabane était en feu. Les flammes avaient rongé mes lien et commençaient à lécher mon dos. La chaleur m'avait réveillé, malgré la douleur j'ai réussis à m'extraire de ce brasier. Au petit matin il ne restait rien, qu'un tas de cendres fumantes.


Depuis ce jour je poursuis ma route en quête de vengeance. Mais ce soir je resterai une nuit de plus attablé au comptoir du GazolineDolls à attendre son apparition.